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le candidat - la suppléante

Jean-Marc BEN
Né le 30 mai 1955 à Coulogne (Pas-de-Calais)
Marié, 2 enfants
Professeur d'anglais au Lycée du Détroit, Calais
Maire-adjoint de Calais depuis 1995

me contacter: jeanmarcben@free.fr

 

On dit que pour mieux connaître les gens, une bonne présentation de leurs " hobbies " vaut mieux qu'une profession de foi. D'accord, je vous donne les deux !


Mes passe-temps :

  • LA DEFENSE DE L'ENVIRONNEMENT
    J'aime participer aux actions des associations environnementales ou naturalistes lorsque j'en ai le temps: les associations dans lesquelles je me retrouve le mieux étant OPALE ÉCOLOGIE (pour travailler les sujets sérieux) et JEUNES ET NATURE (pour les randonnées et l'ambiance sympa). Mes plaisirs : bien que je ne sois pas ornithologue, j'aime lire les ouvrages sur les oiseaux et les observer. Je garde un excellent souvenir de notre visite au Parc Ornithologique de Slimbridge (près de Bristol), en Angleterre, en compagnie d'associations environnementalistes et cynégétiques. Oui, des écolos et des chasseurs ensemble !
    J'aime le vélo, pas sportif, uniquement pour me déplacer en ville. Mais j'avoue en faire beaucoup moins que Christian Louchez, notre " Monsieur vélo " chez les Alternatifs. Une compensation ? Quand je me déplace en voiture, je roule au GPL ! Je sais qu'on trouvera cela bizarre mais j'avoue que c'est le dossier des déchets qui me passionne le plus, en fait leur valorisation, sans doute parce que je pense que c'est dans ce domaine qu'on peut le mieux mettre en pratique l'écocitoyenneté de chacun.


  • LES LANGUES ETRANGERES
    Je suis un éternel étudiant. J'adore apprendre d'autres langues et les pratiquer : l'anglais bien sûr mais aussi l'allemand, le néerlandais, l'espagnol, le grec moderne, le russe, l'arabe, le hongrois, le turc, l'espéranto… Et j'ai beaucoup de plaisir à refaire de temps en temps un petit peu de latin, en essayant d'imaginer à quoi ressemblait la langue des Romains, pour ce qui est de la prononciation et de l'accent ! Je suis très curieux de savoir comment fonctionnent les autres langues, dites rares. Ma curiosité me pousse alors vers le chinois, le berbère ou les langues africaines… Mais cela vient de ma formation en linguistique. J'ai préparé une maîtrise sur " la typologie des langues chez Gustave Guillaume "


  • LE FOOTBALL
    Ca n'était pas ma tasse de thé jusqu'au jour où… mon fils m'a supplié pour aller voir un match au stade Bollaert, à Lens, bien avant la célèbre épopée de la Coupe de France avec l'équipe de Calais. Depuis, je suis à l'affût du moindre match à la télé et je vais très souvent au stade Julien Denis de Calais. Mes équipes préférées en D1 : Lens et toutes les autres… quand elles ne jouent pas contre Lens ! J'aime le football anglais : Arsenal, Manchester United, Liverpool.


  • LA LECTURE
    Surtout en vacances. Cela va des œuvres classiques (Proust quand j'ai le courage ou Balzac) aux auteurs contemporains (Albert Cohen, Aragon, Jacques Laurent, Patrick Cauvin…). J'aime aussi la littérature anglaise, aussi bien les classiques de Jane Austen et de D.H Lawrence que les romans très drôles de David Lodge.


  • … ET INTERNET !
    Je trouve que c'est une merveilleuse source d'information et un moyen de communication incroyable. Je visite essentiellement les sites politiques, sur l'environnement, sur l'actualité, les langues étrangères, etc. Et j'utilise pas mal les listes de discussion qui me permettent d'échanger, de discuter avec des gens de tous horizons, sur les différents sujets qui m'intéressent.


BIOGRAPHIE


J'ai toujours été intéressé par la politique. A 16 ans je me rapproche des Jeunesses Communistes, c'est de ce côté-là que ça semble bouger le plus : contre la guerre au Vietnam, manifestations pour Angela Davis, mouvement de lycéens… L'écologie m'intéresse déjà beaucoup mais à l'époque je ne trouve pas ma voie : l'écologie politique n'existe pas vraiment, elle n'est pas structurée … Malgré tout, j'ai besoin d'agir, de m'engager. Quelques années plus tard, je fais une brève incursion au Parti Communiste. On y parle alors d'eurocommunisme, de nouveau communisme, et ça me plaît. Mais je découvre une autre réalité : l'inertie d'un appareil politique, le " centralisme (peu) démocratique", le " bilan globalement positif " des pays " socialistes ", une foi indéfectible dans le nucléaire… C'est pas mon truc ! Je m'éclipse…

D'un tempérament très actif, je me dirige ensuite vers d'autres occupations. Je continue, indirectement, de me frotter au monde politique, entre 1983 et 1987, en animant sur Radio 6 une émission intitulée " A bâtons rompus ", où j'invite chaque semaine des personnalités du monde politique, économique, religieux, associatif, que j'interroge sur des questions d'actualité et sur leur engagement. Cette émission est un passe-temps (la radio locale à l'époque, c'était du bénévolat) mais elle me prend beaucoup de temps pour la préparation des dossiers. Elle m'apporte beaucoup.

En 1988, la politique me rattrape et réorganise ma vie. Avec quelques amis, nous constituons un comité Juquin pour l'élection présidentielle. Pierre Juquin développe d'autres idées, il élargit la politique de gauche à l'écologie. Sa démarche est inédite : il rassemble des écologistes, les communistes rénovateurs et d'autres mouvances alternatives autour de sa candidature. Une vraie dynamique s'installe. J'aime bien les mouvements qui bousculent l'ordre établi. Après l'élection, l'idée est de lancer un nouveau parti, " rouge et vert ", la Nouvelle Gauche. Ephémère. La mayonnaise ne prend pas.

En mai 1989, je rejoins les Verts le premier. J'y resterai jusqu'en 1997. C'est le parti le plus proche de nos idées mais il est dominé à l'époque par Antoine Waechter qui lance le très ambigu " ni droite ni gauche ". Qu'à cela ne tienne, nous sentons que les courants internes ne sont pas figés et qu'une aile gauche est en train de gagner du terrain.

Viennent les premiers combats écolos de cette période. Mais c'est en 1995, avec l'arrivée des premiers écologistes au conseil municipal de Calais (je deviens adjoint au maire), que l'écologie va prendre ses premières lettres de noblesse. Les grands dossiers que nous avons su faire aboutir sont clairement identifiés à notre travail.

En 1997, les premières divisions apparaissent chez les Verts, aussi bien sur le plan national que local. Je faisais partie de ceux qui avaient réussi à ancrer les Verts à gauche et l'évolution des Verts, les combats des chefs, commencent alors à me peser. Les dirigeants transforment inéluctablement les Verts en satellite du Parti Socialiste et se positionnent de plus en plus au " centre-gauche ". Localement, le groupe Vert de Calais connaît une scission (voir l'histoire du groupe). En 1998, la moitié des adhérents Verts (j'en suis) rejoignent les Alternatifs, jeune parti qui vient de naître au mois de mars de la même année. Ecologistes de gauche, vraiment de gauche, nous sommes aussi autogestionnaires, " rouges et verts ". Les Alternatifs n'appartiennent pas à la gauche plurielle gouvernementale de Lionel Jospin. Les Alternatifs sont différents, pas pour le goût d'être différents, mais parce que la gauche plurielle traditionnelle (PS, PC, Verts) n'a plus de réponse à apporter alors qu'un grand besoin de changement se fait sentir dans le pays, en même temps qu'une grande déception et de la méfiance par rapport à la politique.

A la différence des courants sociaux-démocrates ou de centre-gauche, nous n'avons pas renoncé à la perspective d'une autre société impliquant une rupture avec le capitalisme. Notre projet s'enrichit des acquis des combats anticapitalistes, des apports des mouvements sociaux, notamment du féminisme, et des mobilisations anti-globalisation portées depuis Porto Alegre ou symbolisées par les combats de José Bové. Comme certains de nos militant(e)s le disent fort bien et en plus court, " les Alternatifs, c'est l'écologie ET le social ! "

Je suis aussi convaincu qu'être écologiste, ce n'est pas être contre tout. L'écologie, c'est la capacité de traiter un sujet dans toute sa complexité et de proposer une solution responsable, globale et durable. C'est pourquoi nous avons des divergences notables avec les Verts. Par exemple nous ne faisons pas de la chasse un sujet idéologique et je me suis prononcé pour un dialogue constructif entre écologistes et chasseurs.

En 2001, nous nous représentons aux élections municipales à Calais sur la liste d'union des forces de gauche et des écologistes emmenée par Jacky Hénin. J'entame mon deuxième mandat.

2002 : Elections législatives. Les Alternatifs se présentent pour la première fois. Je suis candidat.

J'aborde ces élections avec confiance. A Calais, ma fonction d'adjoint au maire a démontré, je crois, ma capacité de travail. J'aime travailler sur les dossiers. La politique politicienne n'a jamais été mon fort. Et c'est tant mieux ! J'ai la force de mes convictions, et l'énergie qu'elles m'inspirent, que j'ai mises depuis 12 ans au service de l'écologie, une écologie ouverte et non sectaire. Je défends avec les Alternatifs une écologie sans fil à la patte, indépendante de la gauche plurielle et du gouvernement. Libre, indépendant, cela me donne de sérieux atouts pour mener une campagne sereine mais combative et bien représentative d'une vraie gauche à venir !


Jean-Marc BEN

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Nathalie GATIEN

mariée
deux filles
membre actif de la vie associative

me contacter: nathaliegatien@free.fr

Je me présente Nathalie GATIEN née à Calais en 1967, je suis mariée et mère de deux filles. J'habite le quartier du Beau-Marais depuis plus de 30 ans. J'ai été vendeuse en pharmacie durant plus de 15 ans, activité que j'ai du interrompre lors de la venue de ma deuxième fille, handicapée moteur, qui m'a fait voir la vie sous un autre angle et qui m'a donné envie de m'investir dans la vie associative sur Calais en faisant du handicap mon cheval de bataille. Je suis aussi confrontée comme beaucoup de personnes dans notre région au douloureux problème du chômage avec la situation actuelle de mon mari. Je peux dire que je connais bien les préoccupations de tout à chacun et que je suis à l'écoute des gens de par mon expérience. C'est pour cela que j'ai rejoint le groupe de Jean-Marc BEN.

Mais aussi pour ces raisons suivantes :

  • Je pense qu'il est important de pouvoir laisser à nos enfants ainsi qu'à leurs descendants un environnement propre et dans lequel ils pourront vivre heureux.
  • Qu'il est important que nous soyons tous solidaires quelles que soient nos différences sans distinctions de race ou d'origine.
  • Que quel que soit le problème rien ne se résoud si le dialogue ne s'instaure pas entre les différents intervenants

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